Je dois avouer que son coup de crayon manque terriblement au Palmipède (Canard enchainé) dont je suis un fidèle lecteur.<br />
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Bel hommage de l'artiste qui l'a croqué et aussi de toi.
Un an après, la stupeur est toujours aussi vive, le cauchemar toujours présent. La représentation de Cabu est affreuse, mais j'aime le personnage flou qui passe, qui incarne la vie qui continue ... comme dans l'indifférence.
Une minute, un siècle...un an. Déjà.<br />
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Cabu, avec sa tête de grand enfant, c'était mon préféré.<br />
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Merci pour ce beau cliché<br />
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